Plaquette de présentation
par
Qui sommes nous ?
R.E.S est née au mois de juillet 1995 à l’initiative de personnes, chômeurs ou non, qui n’admettent pas le chômage, la précarité et l’exclusion comme relevant d’une fatalité.
L’association est régie par la loi de 1901 et le décret du 16 aoà »t 1901. Elle porte le n° 8024.
L’association est composée d’adhérents et de sympathisants. Elle n’est liée à aucune structure politique. Chaque personne peut librement demander son adhésion.
Que faisons nous ?
Suivant l’objet figurant dans nos statuts : l’accueil, l’écoute et l’aide dans les démarches des personnes privées d’emploi. L’association lutte contre le chômage, mais aussi contre l’exclusion, contre les discriminations ne concernant pas que l’emploi ; pour la reconnaissance du droit à la dignité et à la différence...
R.E.S participe à des actions nationales : droit à l’emploi ; droit à un revenu décent pour tous ; lutte contre la précarité ; transports gratuits pour les démunis ; le respect des droits fondamentaux ; la représentation des chômeurs dans les ASSÉDIC, et dans les instances où leur sort est concerné...
D’autre part, elle participe à des assises, des colloques nationaux et européens ; sollicite les élus et répond à l’interpellation des médias sur des sujets d’actualité.
R.E.S. est membre d’un mouvement national : AC ! (Agir ensemble contre le Chômage). Elle fait aussi partie du réseau « Marches européennes contre le chômage et la précarité  ».
R.E.S. représente les personnes privées d’emploi dans comités de liaison, aux échelons local et régional mis en place auprès de l’ANPE ,de l’AFPA et de la DDTEFP. Ses permanents assistent les personnes en voie de radiation dans les commission de recours, et à l’ANPE.
Grâce aux actions menées par des associations, comme la nôtre, depuis plusieurs années, quelques avancées ont pu être obtenues : Fonds d’urgence sociale début 98, l augmentation et indexation du RMI et de l’ASS sur le « coà »t de la vie  », la création des comités de liaison, la loi contre l’exclusion juillet 1998. Sans notre mouvement, les pouvoirs publics n’auraient certainement pas cerné l’urgence de la situation qui nécessite des mesures immédiates et radicales.
Mais ce qui a été octroyé reste largement insuffisant et ne correspond ni à la lecture, ni à l’esprit de notre Constitution. Les emplois précaires augmentent. La protection sociale, le SMIC sont menacés. Un vaste chantier doit être ouvert pour plus de justice sociale et d’équité, pour exclure le chômage. la précarité et la pauvreté.
Rappel de quelques moments forts :
- Marches Européennes contre le chômage, la précarité et l’exclusion en 1997 (Amsterdam).
- Mouvement national des chômeurs de décembre 97 et début 98 pour l’augmentation des minima sociaux (ASS, RMI, minimum vieillesse, allocation handicapés, API) et l’octroi d’un revenu pour les jeunes de moins de 25 ans.
- Rencontre avec le Mouvement de chômeurs allemands le 8 Mai 98 à Strasbourg, sur le pont de l’Europe.
- Actions fin 98 pour l’augmentation de 1500 F/mois des minima sociaux.
- Manifestation européenne à Cologne contre la précarisation de la société, mai 1999.
- Lutte contre la convention UNÉDIC et le PARE (plan d’aide au retour à l’emploi), année 2000.
- Contre sommet européen à Nice, 6, 7, 8 décembre 2000.
Si vous avez besoin de nous joindre, de nous rencontrer :
- téléphonez au 03.26.06.08.98 ou au 06.80.30.06.09
- écrivez à : RES/AC ! 2 rue Féry, 51100 REIMS
- mail.