Arrêtons la barbarie d’Etat envers les plus faibles !
par
La nécro-économie néo-libérale, partout où elle se déchaine, vampirise la
nature, la vie animale et l’humanité. Elle détruit la planète en individualisant la
société et permet l’enrichissement des seuls riches qui adoubent son marché
comme un nouveau dieu. De fait, les bénéficiaires de ses largesses sont
responsables, au moyen d’une exploitation/destruction de la planète et d’une
production effrénée, du réchauffement climatique et de l’étendue mondiale de
la faim. 797 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde en
2022 !
En France, la politique économique néo-libérale imposée depuis 2017 par
Macron ne fait qu’accroitre la précarité, tandis que la misère se répand dans la
population comme une trainée de poudre. 9,1 millions de pauvres ! Les
attaques répétées du gouvernement pour détruire les acquis sociaux, les
services publics ou les retraites - demain, l’assurance chômage - sont
tellement violentes contre les classes défavorisées et le monde du travail qu’il
est obligé d’imposer ses dictats au moyen d’une répression féroce à l’encontre
des classes populaires qui se lèvent pour combattre sa politique dépourvue
d’empathie humaine. Cette violence d’état se déploie mortellement comme
une tempête dans les banlieues et contre les mouvements sociaux. Des
jeunes en meurent. Les autres en perdent un œil ou sont transportées dans le
coma à l’hôpital. Et des familles sont broyées et brisées. Les citoyens-nes de
ce pays sont devenus pour ce pouvoir l’ennemi intérieur à abattre !
Cette violence politique réactionnaire du gouvernement ne fait qu’aggraver la
situation des plus faibles. Les chiffres du chômage toujours élevés, la
progression de l’inflation non maitrisée et du coût de la vie en attestent. Selon
la DARES, ces chiffres font apparaitre au mois d’aout 2023 une augmentation
significative de 23800 demandeurs d’emploi en plus en catégorie A (= sans
emploi du tout). Ce qui contredit l’optimisme béat des « chiens de garde du
pouvoir », ceux-là même qui vantent dans la presse le bien-fondé de sa
politique de l’emploi. Cette mécanique médiatique bien huilée permet au
pouvoir de continuer son offensive contre les droits des salariés, des précaires
et des chômeurs par une loi dite « Plein Emploi » applicable au premier janvier
2024, actuellement en deuxième lecture à l’assemblée nationale.
Écoutez l’émission "AC ! Tonne" tous les mercredis à 17h sur La Clé des Ondes 90.10 Mhz
Tel : 05 56 81 88 91
Email : ac.gironde@free.fr
Adresse : 21 rue Saincric 33000 Bx
Arrêtons
la barbarie d’Etat
envers les plus faibles !
La nécro-économie néo-libérale, partout où elle se déchaine, vampirise la
nature, la vie animale et l’humanité. Elle détruit la planète en individualisant la
société et permet l’enrichissement des seuls riches qui adoubent son marché
comme un nouveau dieu. De fait, les bénéficiaires de ses largesses sont
responsables, au moyen d’une exploitation/destruction de la planète et d’une
production effrénée, du réchauffement climatique et de l’étendue mondiale de
la faim. 797 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde en
2022 !
En France, la politique économique néo-libérale imposée depuis 2017 par
Macron ne fait qu’accroitre la précarité, tandis que la misère se répand dans la
population comme une trainée de poudre. 9,1 millions de pauvres ! Les
attaques répétées du gouvernement pour détruire les acquis sociaux, les
services publics ou les retraites - demain, l’assurance chômage - sont
tellement violentes contre les classes défavorisées et le monde du travail qu’il
est obligé d’imposer ses dictats au moyen d’une répression féroce à l’encontre
des classes populaires qui se lèvent pour combattre sa politique dépourvue
d’empathie humaine. Cette violence d’état se déploie mortellement comme
une tempête dans les banlieues et contre les mouvements sociaux. Des
jeunes en meurent. Les autres en perdent un œil ou sont transportées dans le
coma à l’hôpital. Et des familles sont broyées et brisées. Les citoyens-nes de
ce pays sont devenus pour ce pouvoir l’ennemi intérieur à abattre !
Cette violence politique réactionnaire du gouvernement ne fait qu’aggraver la
situation des plus faibles. Les chiffres du chômage toujours élevés, la
progression de l’inflation non maitrisée et du coût de la vie en attestent. Selon
la DARES, ces chiffres font apparaitre au mois d’aout 2023 une augmentation
significative de 23800 demandeurs d’emploi en plus en catégorie A (= sans
emploi du tout). Ce qui contredit l’optimisme béat des « chiens de garde du
pouvoir », ceux-là même qui vantent dans la presse le bien-fondé de sa
politique de l’emploi. Cette mécanique médiatique bien huilée permet au
pouvoir de continuer son offensive contre les droits des salariés, des précaires
et des chômeurs par une loi dite « Plein Emploi » applicable au premier janvier
2024, actuellement en deuxième lecture à l’assemblée nationale.
La loi plein emploi va créer dans son volet premier une nouvelle usine à gaz,
France Travail, dont le seul but sera de sanctionner, radier, fliquer et réprimer
les demandeurs d’emploi sous couvert de les accompagner vers un
hypothétique emploi, les orientant le plus vite possible vers des organismes privés qui eux seront chargés « d’attendrir la viande à des fins d’adaptation au
marché ». Au passage : exit l’égalité républicaine de traitement puisque
l’ensemble sera régionalisé et exit le service public de l’emploi puisque
détricoté et privatisé ! Dans son volet second, la loi dite « plein emploi »
décrète le RSA conditionné à une obligation pour les bénéficiaires de travailler
15 ou 20 heures par semaine. Macron, avec ce travail obligatoire, impose une
vieille antienne de droite archaïque et extrême. Ce faisant, il fait dérailler la
démocratie vers un autoritarisme soft de l’ordo-libéralisme. Exit les
conceptions du droit sur lesquelles repose la citoyenneté.
Depuis le 12 septembre 2023, une renégociation de l’assurance chômage a
lieu, dont les contours ont été ordonnés par une lettre de cadrage du
gouvernement qui exige une nouvelle fois de réduire la durée d’indemnisation
du chômage, sous couvert d’une amélioration du marché du travail. Le
mensonge étant trop beau, le gouvernement en profite pour vouloir siphonner
littéralement 12 milliards dans les caisses de l’Unedic dont la dette, non
remboursée à ce jour et cumulée, est toujours de 56,3 milliards en 2023. Il
s’agit clairement d’un hold-up bien ficelé ! Les droits des salariés, au
contraire, demandent à être améliorés d’urgence face au coût de la vie, en
augmentant le niveau des allocations laminées par deux réformes d’assurance
chômage (nov. 2021 et fév. 2023) fixées déjà par la volonté du pouvoir
Macroniste. Seul un tiers des chômeurs est aujourd’hui indemnisé et sur ce
tiers, quatre chômeurs sur dix ont une allocation inférieure aux minima
sociaux. Exigeons une allocation à hauteur du Smic pour tous-tes !
Ce 18 septembre, le gouvernement a présenté son Plan Pauvreté. Aucune
annonce d’augmentation des minima sociaux dans ce contexte de forte
inflation ! Ce plan pauvreté, ainsi nommé, est totalement factice et inefficace.
En 2022, les pauvres sont restés pauvres… et on se demande où sont passés
exactement les 8 milliards annoncés en 2018, puisque pas un centime n’est
venu augmenter les minima sociaux largement en dessous du seuil de
pauvreté ? L’hypocrisie de la politique d’affichage poudré du Caritas bourgeois
macronien est à son comble quand Elisabeth Borne annonce que "c’est le
travail qui permet de sortir de la pauvreté". Sachant qu’il y a toujours qu’UNE
OFFRE D’EMPLOI POUR TREIZE CHOMEURS l’analyse de la situation est
vite faite. Le néant autistique du binôme Macron/Borne est aussi puant
que leur nécro-libéralisme est cruel et barbare !
Une urgence : contrer la destruction de nos droits sociaux
Salariés, Précaires, Chômeurs, Pauvres, Miséreux
Ensemble Tous Concernés !
AC ! Gironde appelle à la création d’un collectif unitaire
Mardi 10 octobre 2023 18h
21 Rue Saincric Bx.
21 sept 2023
Écoutez l’émission "AC ! Tonne" tous les mercredis à 17h sur La Clé des Ondes 90.10 Mhz