COURS DE DROIT DU TRAVAIL 2021-2022
RESEAU STOP PRECARITE
COURS DE DROIT DU TRAVAIL 2021-2022
Gratuits, les 1ers lundis du mois d’octobre à juin de 19 à 21H
Bourse du Travail de Paris (3 rue du Château d’Eau) ou annexes
Le réseau STOP PRECARITE est né en 2001 à l’initiative de jeunes salarié-e-s de la restauration rapide et du commerce de diverses appartenances syndicales et associatives lors des grèves chez Mac Do, Pizza Hut, Maxilivres, la FNAC..., en soutien à ces luttes et pour s’organiser face à la précarité du travail.
Cette précarité n’a cessé de se développer sous de multiples formes : sous-traitance, auto-entreprenariat contraint, ubérisation, emploi au noir.. Les luttes se multiplient et obtiennent des victoires..
Mais le droit du travail ne cesse de reculer, et la crise du Covid-19 a été utilisée pour lui porter de nouveaux coups. Connaître le droit du travail, ce qu’il en reste, permet de mieux se défendre face à son patron, d’organiser la solidarité avec ses collègues, et la lutte permet seule de conserver ses droits au travail et d’en arracher de nouveaux.
Depuis 2004, des juristes du travail et des syndicalistes CGT, CNT, Solidaires, que nous remercions vivement, nous donnent bénévolement des cours mensuels de droit du travail gratuits et ouverts à tou-te-s sans inscription préalable. Vous y êtes les bienvenu-e-s ; n’hésitez pas à en parler autour de vous.
Contact : evelyne.perrin6@orange.fr Tel : 06 79 72 11 24.
Plusieurs supports de cours sont disponibles sur simple demande.
Prochains cours , sans inscription préalable, de 19h à 21h à la Bourse du Travail 3 rue du Château d’Eau (M° République), salle Louise Michel :
4 octobre 2021, 19h : – La formation professionnelle, par Jean-Pierre Ferry, inspecteur du travail SUD Travail
8 novembre 2021 : - La Négociation collective, par Sabrina Alzaïs, universitaire, et Ylias Ferkane, universitaire
6 décembre 2021 : - Les droits des chômeurs et précaires, par Luc Chevallier SUD, Jacques Lambert CNT,et Pierre Garnodier CGT
10 janvier 2022 : - Les Prudhommes, par Hélène Meynaud, universitaire, et Rachel Spire, avocate
