La santé dans la boule de cristal.
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Le freluquet de l’Elysée, poursuivant le démantèlement des services de santé et par voie de conséquences la suppression de milliers de lits d’hôpitaux, s’est ingénié, avec son "conseil de défense", a définir un nouveau concept peu orthodoxe.
Cet ancien agent de banque n’a au coeur que le porte monnaie. Loin de lui une médecine gratuite pour tous , mais une nouvelle forme d’appréhension de la médecine, dans une logique mercantile, comme "le tirage au sort".
L’épidémie "vendue" comme la peste, à grand renfort de communication, similaire à une époque peu glorieuse de notre histoire, au sens de la propagande, vient de trouver son dénouement dans les "nouveaux soigneurs".
Selon cette source : Ministère des solidarités et de la santé, HAS, conférence de presse du gouvernement (4 mars)., les pharmaciens, les sages-femmes, les infirmiers vont pouvoir injecter des doses vaccinales gratuitement et sans ordonnance pour les personnes âgées entre 50 et 74 ans touchées par des cas de co-morbidités.
On va vacciner selon un diagnostique spontané et déclaratif "du patient".
Dans le même temps les médecins sont tenus à l’écart. La raison en est simple : l’économie d’une consultation. Mais à ce jeu, il est à redouter que cela se traduise par davantage de pathologies.
D’autre part, où va se trouver la traçabilité en cas de problème. Où sera la responsabilité ?
Par ailleurs, un vaccin ne se "fabrique" pas en huit mois. Le code de Nuremberg et l’article 8 de Convention européenne des droits de l’Homme interdisent toute forme de vaccination forcée. Toute restriction en raison de la non vaccination serait à considérer comme une discrimination.
Arrêtons de stigmatiser les médecins qui seraient tenus, aujourd’hui, pour responsables de 38% des foyers d’infection.
Exigeons la démission d’Olivier Véran et le renvoi à ses études de Gérôme Salomon
