Une société anxiogène
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Après le confinement, le port du masque obligatoire, voici venu le temps béni avec la reprise des faits divers et des accidents de la circulation, sous couvert médiatique et à grand renfort de communication.
Le pouvoir n’a de muse que l’anxiété.Il reprend à l’envie les avis de l’OMS et de médecins (députés par ailleurs) qui n’ont que pour objectif que d’asseoir les lobbies pharmaceutiques et des intérêts communs.
Ce gouvernement instrumentalise les peurs et les angoisses. Jusqu’à quand ?. En matière de "despotisme démocratique" on ne fait pas mieux.
Sur un autre registre, la présomption d’innocence. Le ministre Gérald Darmanin, se voit dans l’obligation de recueillir la confiance de 167 députés des "Godillots en marche", lors d’une pétition sur son investiture.Ceci, à n’en pas douter, pour peser sur les investigations qui sont menées à son encontre.
Alors dans ce cadre, que fait t-on de la détention provisoire, sans entrer dans ses artifices. Tout être humain est reconnu innocent tant qu’il n’a pas été reconnu coupable.
Nous sommes ici devant un déni de démocratie et de justice.
Quant au chef de l’Etat dont on perce à jour les fragilités, il nous revient, peuple, de l’activation de l’article 68 de notre Constitution.