Il est où l’après
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Ce soir dans son allocution, le chef de l’Etat, longtemps "couché" sous le tapis, ressort avec les mêmes " miasmes" que sont l’autosatisfaction, le satisfecit, le moi je, les mêmes poncifs.
A aucun moment, il ne revient sur la responsabilité du gouvernement dans la gestion calamiteuse de cette crise sanitaire.
Il se berce d’un langage illusoire à en bafouiller, prêtant à la flagornerie.
Dans un discours démagogique, il réaffirme une volonté liberticide et son attachement au pouvoir régalien, à la mondialisation et à l’exploitation des travailleurs.
Sous le vocable de "corriger des erreurs", il masque les réalités marquées par sa politique ultralibérale qui conduit encore et demain à la suppression de lits d’hôpitaux.
Ne soyons pas les dupes d’une République confisquée au profit d’intérêts particuliers. De la France d’après qui sera pire qu’avant. Du désordre sciemment organisé.
Macron, une nouvelle fois, révèle son incompétence mais réaffirme sa détermination à paraître.