Contrôles, sanctions, précarisation : Les syndicats doivent s’opposer !
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A moins d’avoir un pistolet sur la tempe, quelles raisons pourraient
pousser un syndicaliste à accepter de discuter de la baisse de 30% des
revenus des salariés, entre leur dernier emploi et le suivant ?
Imaginerait-il des compensations temporaires ? Mais financées par qui ?
Et profitant à qui ?
Bien sur, le silence des négociations lui impose de garder les documents
secrets.
Que nous reste-t-il encore à sacrifier ? quelle protection ? en échange
de quoi ? au nom de quelle sécurité ? Alors qu’ils nous disent que le
système entre à nouveau en crise !
Le sujet serait à l’ordre du jour d’une réunion de travail jeudi 17
avril, réunissant le gouvernement et les organisations patronales et
syndicales dites représentatives.
Soyons sà »r qu’aucune organisation de salarié-es ne se compromettra en
discutant de telles mesures.
Mais tout de même, soyons vigilant-es.
Agir ensemble contre le Chômage !
21 ter rue Voltaire 75011 PARIS