Le Larron
par
Le chef de l’état dans sa vision angéliste et manichéenne réaffirme sa conception de notre société autour de la valeur travail.
S’il reconnaît la contestation de sa contre réforme des retraites, il renvoie à un pacte social de la vie au travail. Par ce biais il mésestime l’opposition syndicale qui lui est faite.
Il tire un bilan de sa politique sur l’emploi dont tous les effets sont dénaturés. Le Chômage reste à son taux le plus élevé.
Il parle de justice quand la répression s’abat sur tout un peuple.
Il parle d’immigration pour convaincre le rassemblement national de s’asseoir à sa table, afin d’avoir un allié en cette circonstance chaotique.
Il parle de santé, mettant de coté la gestion calamiteuse de la crise sanitaire et la fermeture des hôpitaux et des maternités.
Il parle de libérer les énergies dans l’intérêt de la nation. Mais Macron tu es sourd, elles sont dans la rue.
Il parle d’indépendance de la France mais au nom de l’Europe.
Enfin, il attaque une nouvelle fois la bureaucratie et par là le service public et toute réglementation.
Emprunt de sa fantasmagorie, il évoque les cent jours. Un rappel à l’histoire et donc à la fin de son mandat, NON ?
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